Il est dur de vivre quand on a peur de sortir de chez soi. De se retrouver sous le regard des gens qu'on aime, alors qu'on leur a fait peur. Qu'on les a "trahi" par nos actions. Qu'ils se sont fait un sang d'encre.
C'est la gorge nouée et un mal de ventre ravageur que je m'aventure hors de chez moi, j'essaye de me raisonner, de me dire que tout va bien. Mais rien n'y fait. Je suis trop fragile pour affronter tout cela. J'ai l'impression d'être une feuille morte qui se laisse aller au vent qui passe et qui pourrait se faire broyer par n'importe quelle semelle.
J'ai beau être souriante, rigoler, je me sens tellement vide. Tellement fragile. Je sens bien qu'un rien pourrait me refaire basculer dans ce délire qui m'a emporté week-end dernier. Tout plaqué et partir avec des inconnus à l'étranger sur un coup de tête en mode road trip sans avoir envie de revenir malgré les appels de ma mère en pleurs.
J'ai peur de ce que je suis capable de faire. Je sais aujourd'hui que je suis capable de partir loin des gens que j'aime et de tout faire pour ne pas revenir. Je me suis fais tellement peur qu'aujourd'hui, je n'ose plus sortir de chez moi de peur de me "ré-enfuir" et de refaire du mal aux personne squi se sont inquiété de mon sort. Mais c'est tellement bon de se sentir comme libre de tout. Personne ne vous connait. Personne n'attend quelques chose de vous puisque vous êtes inconnu de tous. C'est vraiment une sensation violente et bonne à la fois. Mais l'atterrissage est violent. Quand on se rend compte de tout le bordel que l'ont a foutu dans la vie des autres.
J'ai aimé et en même temps détesté. C'est pour ça que j'ai peur que cela me reprenne.
Mais pour rien au monde je n'aurais envie de retourner aux Urgences psychiatrique, où je suis arrivé dimanche. Car e ne pouvait pas rester chez moi. J'avais besoin d'un endroit neutre et ma maison ne l'étant pas, j'ai demandé à mes parents de m'emmener à l'hôpital : "Je veux qu'on me soigne.". J'ai passé la nuit dans le quartier psychiatrique. Les psychiatres et médecin que j'ai rencontré là-bas m'ont affirmé que je devais faire un examen pour rechercher si je ne pouvait pas être touché par une maladie.
Ca a été dur pour moi de me dire que j'étais peut-être malade, même si cela m'étais déjà venu à l'idée.. Médicaments à vie. Secret sur la conscience. Mentir aux nouvelles personnes qui viendront à ma rencontre. Je me sentirait comme "fausse".
Mais en même temps, ce sera une délivrance. Je pourrais enfin me dire que ce n'est pas de ma faute si je suis comme ça. Que c'est la maladie qui me provoque ses sauts d'humeur et m'empêche de vivre normalement. Que je pourrais enfin dire adieu à ces changements d'humeur brusques et sans fondement.
Je suis perdu, j'ai peur. Et je dois vivre avec un mal de ventre constant.
C'est dur. Mais je m'en sortirais. Je le promets à qui veut l'entendre !
Mind.of.Cha
Mind of little lady.
Mind.of.Cha
Mind of little lady.
Mercredi 7 avril 2010 à 22:35
Mercredi 17 mars 2010 à 0:43
C'est là-bas que j'irais. C'est là-bas que je vivrais. C'est là-bas que je mourrais.
Personne ne m'en empêchera. Et pour personne, j'y renoncerai.
Mercredi 17 mars 2010 à 0:42
L'amour. Un mot si simple pour un sens si dur à comprendre et à assimiler. C'est une chose qui vous transporte, qui vous transforme, qui fait chavirer votre coeur et qui vous détruit forcément peu à peu. Qui n'a jamais eu mal ? Qui dira qu'il n'a jamais souffert d'une relation ? L'amour fait mal. Que dire de plus. L'amour c'est beau en soit. Je l'avoue et le conçoit. On a du mal à y résister. On a du mal a ne pas se laisser avoir. Mais quand on le trouve, on est heureux. Le temps passe moins vite, on s'émerveille de ces petites choses de la vie que l'on ne voit pas au quotidien. L'amour, c'est voir le peu de chose en lequel on ne croit plus. C'est ce qui fait sa force. Mais aussi notre faiblesse. Car l'amour est fort, machiavélique et mesquin. Quand il vous quitte, on perd la vision angélique des moments à deux pour se baser sur le mauvais, l'impropre, le malheur, le désarroi, l'absurde, le sale. L'amour vous rend fou. Mais surtout l'amour c'est subtil. On ne le croise pas partout. Il faut savoir l'attendre. Surtout le reconnaître et bien vouloir lui tendre la main. La lui prendre. Et ne plus jamais la lâcher.
L'amour. On l'aime, on le déteste. Les deux à la fois.
Conclusion. J'aime les gens même si parfois c'est dur.
Nous deux, c'est de l'amour. On a eu des hauts et des bas. Tu es celle qui me comprendras toujours.
Car on a vécu la même chose. Car on a vécu beaucoup de choses ensemble. Et que ce n'est pas fini.
L'amour. On l'aime, on le déteste. Les deux à la fois.
Conclusion. J'aime les gens même si parfois c'est dur.
Nous deux, c'est de l'amour. On a eu des hauts et des bas. Tu es celle qui me comprendras toujours.
Car on a vécu la même chose. Car on a vécu beaucoup de choses ensemble. Et que ce n'est pas fini.
Je t'aime plus que tout.
Mercredi 17 mars 2010 à 0:41
Est-ce que tu connais quelqu'un sur qui tu pourras toujours compter ? Est-ce que tu connais quelqu'un qui serait capable de donner sa vie pour toi ? Est-ce que tu connais une telle personne ? Moi je la connais et je l'aime plus que tout. Cette personne qui te fais rêver avec qui tu es sûr de passer une excellente soirée. Une personne qui te redonne le sourire. Une personne a qui tu peux tout dire sans peur d'être juger.
Toi, mon ami.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.
Toi, mon ami.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.