Mind.of.Cha

Mind of little lady.

Mercredi 17 mars 2010 à 0:40

Regarder devant soi sans jamais baisser les bras, je sais. Ce n'est pas le remède à tout. Mais il faut se forcer parfois. C'est pas marqué dans les livres. Que le plus important à vivre est de vivre au jour le jour. Le temps. c'est de l'amour.


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Mercredi 17 mars 2010 à 0:39

La vie, ça rime à quoi ? La vie, ça rime avec quoi ?

A se défoncer dans son travail ou dans ses études ?
A se défoncer la gueule à coup de grandes gorgées d'alcool, à coup de pilules plus ou moins colorées ou de grandes barres de poudre blanche ?
A dépouiller son compte bancaire pour une paire de shoes Roxy, pour un pantalon Kanabeach ou pour un manteau Zara ?
A aimer les personnes qui vous entourent et se prendre des grandes claques dans la gueule à cause de votre F**KING naïveté ?
A s'attacher à chaque nouvel homme, pour s'en détacher tout aussi rapidement ?
Se donner corps et âme à quelqu'un ? (et avoir tout de même le plaisir de voir que l'on a eu raison.)
Offrir son coeur et espérer, prier, jurer pour qu'Il le garde et ne l'abîme pas ?

Mon coeur, mon âme et mon corps ont déjà tant souffert. La maladie. Les coups. Les insultes. L'ignorance. Je ne veux plus souffrir. Je ne peux plus souffrir. Je ne le supporterais pas. Mon corps, lui-même, ne le supportera pas.

J'essaye tant bien que mal à faire rimer ma vie avec bonheur. Mais comment en faire une poésie ? Prose ? Vers ? Rimes ambrassées ? Comment la mettre en forme pour m'amener au paroxysme du bonheur, de la plénitude et de l'épanouissement personnel ?



Tant de questions. Si peu de réponses.

Mercredi 17 mars 2010 à 0:38

Le temps.

Parfois il passe trop vite. Parfois trop lentement. Comment mesurer la mesure du temps ?
Le temps, il faut lui courir aprés afin de rester auprés des gens que l'on aime. Mais on aimerait tellement qu'il avance plus vite quand l'ennui s'installe paisiblement sur vos genoux. Le temps vous crache à la figure. Il vous nargue. Les plus susceptibles lui couront aprés, verront se creuser leurs rides et sentiront leurs corps abandonner peu à peu la vie.
Plus tard, d'autres personnes simples, sans préjugés, sans a prioris tourneront le dos à ses insultes (Espérons qu'il en existe..). Elles marcheront où l'envie les porteras. Elles profiteront de chaque instant comme si c'était le dernier. Comme si c'était la dernière fois. Elles profiteront des gens qu'elles aiment. Des petites choses de la vie qui font qu'elle est belle.  Ces personnes se délecteront d'un simple nuage. D'une brise fraîche sur leur peau brulée par le soleil. De la douce chaleur d'un corps contre le leur. De la saveur d'un baiser. Ces personnes délecteront la vie par petites bouchées tendres et sucrées.
Je vous avouerais qu'il est dur de vivre dans notre monde. A notre époque. Faudrait-il être simple d'esprit pour vivre heureux ? Faudrait-il se voiler la face pour croire au changement. ?
Je ne pense pas. Il suffit de croire que tout est possible. Nous sommes 6,5 milliards d'humains sur cette pauvre Terre. Nous pouvons changer les choses. Il suffit de le vouloir. Le vouloir avant qu'il ne sois trop tard et que le temps nous enlace avec ses bras puant la mort et la déchéance.

Malheureusement la volonté est tombé dans le puit sinistre de l'individualisme.
Enfin c'est à nous, la Jeunesse impétueuse et vulgaire d'aller la retrouver.



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Mercredi 17 mars 2010 à 0:37

* Sylvain découvre l'écriture un dimanche après-midi d'hiver sur le parking de l'université de Lille, le soleil au cours d'un passage à Porto Rico et l'image de l'amour en voyant le visage de Thomas dans un film Condamné amour.
L'écriture, le soleil, l'amour... C'est à cette triple quête qu'il se consacre. Un long périple mi-réel mi-imaginaire l'entraîne d'Afrique du Nord en Amérique, de Hambourg à Venise. Voyage jalonné de rencontres. De femmes. D'hommes. De diables blonds...
Mais ce chemin, tragique en vérité, conduit Sylvain vers la souffrance, la maladie, la mort, peut-être - la sienne et celle des autres. L'érotisme est voué à sa propre perte. Seule, émergeant du chaos, l'écriture existe…

Source : J'ai Lu.



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Condamné Amour, un livre qui vous prend aux tripes. Qui vous donne envie de vomir. Qui vous soulève le coeur et vous choque.
Condamné amour, ne pas le lire.

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